Par Upsocl
13/12/2022

“J’observe avec beaucoup de jalousie et d’envie que les mères qui travaillent peuvent rentrer plus tôt, avoir des horaires flexibles ou travailler depuis la maison. Je sens que l’on doit pousser pour réclamer ce même soutien envers les mères d’animaux de compagnie”, a commenté la jeune fille.

Mary Rose Madigan est une australienne de 28 ans qui a fait paler d’elle récemment avec une demande bien curieuse: que l’on lui donne au travail la même flexibilité que aux mères qui sont mères d’enfants, tout ça car elle aussi est une “mère”, même si c’est d’un chien.

Il s’agit de Frank, un chihuahua que Mary a adopté l’an passé avec son copain. Tout allait bien dans leur vie, mais elle a commencé à vivre avec la “culpabilité de mère” à chaque fois qu’elle sortait de la maison et laisser son “bébé” tout seul.

Instagram @maryrosem

Selon ses dires, elle sait qu’elle peut le laisser seul sans surveillance pendant plusieurs heures, mais de toutes façons elle n’a pas l’esprit tranquille en sachant que son chien est probablement triste à attendre son retour. A cause de ça, elle a décidé de le laisser dans une guarderie.

Celle-ci a un coût de 41 dollars et s’ils viennent le récupérer en retard, ils reçoivent une amende pour le retard. C’est pour cela que Mary a demandé que l’on donne aux propriétaires d’animaux de compagnie “la même flexibilité et compréhension que les mères d’enfants humains”.

Instagram @maryrosem

“Je vois que les mères qui travaillent peuvent rentrer plus tôt, obtenir des horaires adaptés ou travailler depuis la maison plus fréquemment, et cela me rend absolument jalouse”, a-t’elle affirmé, même si elle est consciente qu’elle privilégiée par rapport à d’autres personnes.

 “Je me rends compte de mon privilège ici. Je travaille dans une industrie qui généralement souhaite aider, soutenir et donner du pouvoir aux femmes. C’est pour ça qu’il existe des systèmes pour aider les mamans à équilibrer tout ça”, a-t’elle manifesté.

Instagram @maryrosem

“Mais je sens que l’on doit stimuler ce même soutien envers les mères avec des animaux de compagnie. Je sais que ce ne sont pas des enfants ; je sais que je ne suis pas un mère, et je ne pourrais jamais prendre conscience de tout le poids que cela représente, mais j’aime mon chien plus que ce que je me l’imaginais possible”, a-t’elle conclu.

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