“Au reste des personnes qui ne se sont jamais souciées de ma vie, je vous souhaite de rester aussi loin que vous l’avez toujours été”, termine la nécrologie de la femme publiée par un journal de Lugo en Espagne.
Lorsqu’une personne décède et quitte ce monde, il est courant qu’elle ait un testament pour laisser des biens en héritage à certaines personnes ainsi que d’exprimer ses dernières volontés. Par exemple, passer des chansons particulières lors des funérailles ou bien que l’endroit soit décoré d’une façon spéciale.
C’est pourquoi les nécrologies qui sont écrites dans les journaux ont tendance à réserver de nombreuses surprises concernant les dernières volontés de certaines personnes décédées. L’une de ces surprises est survenue à Lugo, en Espagne, où une femme est allée un peu trop loin.
La défunte était si précise dans son avis de funérailles qu’elle a explicitement indiqué qui pouvait assister à ses funérailles en excluant de la cérémonie ceux qu’elle n’avait pas nommés.
Maria Paz Fuentes Fernández a précisé dans la nécrologie du journal que “ma famille n’est pas de mon sang depuis longtemps, j’impose ma dernière volonté pour qu’il soit permis d’assister à mes funérailles, au salon funéraire, à l’église et cimetière seulement aux personnes que je mentionne ci-dessous”.
La femme a alors donné les noms des 15 personnes qui composaient la liste puis a terminé son annonce avec le message suivant : “Au reste des gens qui ne se sont jamais souciés de ma vie, je vous souhaite de rester aussi loin que vous l’avez toujours été.”
La nécrologie, qui a été publiée par Funeraria Fernández, a été partagée sur Twitter par l’utilisateur José Pardina, qui a plaisanté en disant que la femme avait exclu des personnes de ses propres funérailles et il a rajouté “il y a surement un roman à écrire sur cette histoire”.
On peut en déduire, d’après les noms de famille des personnes figurant sur la liste et le message de la défunte, qu’aucun d’entre eux n’était de sa famille de sang, ce qui signifie qu’elle savait très bien qui étaient ses vrais amis. Cela nous rappelle le dicton : “Les amis sont la famille qu’on choisit.”