Par Upsocl
21/02/2023

Un vétérinaire lui a dit que son petit chien avait un cancer des os et qu’il pouvait le piquer sur le champ, ce à quoi elle s’est opposée farouchement : “Je n’aurai pas pu le faire piquer, c’est comme un autre enfant pour moi”. Maintenant elle lutte pour sauver la vie de son chien en économisant sur tout ce qu’elle peut, même les frais pour les fêtes Noël.

Joely Eaton est une femme de 29 ans et mère de deux petits qui a depuis sept ans à Buddy, son petit chien staffordshire bull terrier qui est arrivé dans sa vie en tant que cadeau de la part de sa mère. Tout marchait tranquillement dans leurs vies, quand un jour le chien a commencé à boiter.

La jeune femme a simplement pensé qu’il s’était fait mal en sautant la barrière de la maison, ce qui fait qu’elle la amené chez le vétérinaire, qui lui a dit qu’il avait probablement mal et qu’il avait de l’arthrite à cause de son âge et il lui a donc donné un médicament anti-inflammatoire pour qu’il aille mieux. 

Triangle News

Cependant, cela n’a pas marché et deux semaines plus tard, le chien ne pouvait même plus poser sa patte douloureuse par terre, ce qui l’a amenée à le refaire voir par le vétérinaire.

 “Le vétérinaire m’a dit que dans le pire des cas, ça peut être une tumeur osseuse, mais, évidemment, je ne pensais pas que ça pouvait être ça. Il m’a alors appelé juste quand je m’apprêtais à aller chercher les enfants à l’école et il m’a dit :‘Je n’ai pas de bonnes nouvelles, c’est une tumeur osseuse‘”, a commenté Joely au Daily Mail.

Triangle News

“Il ne l’avait même pas encore réveillé après lui avoir donné les tranquillisants, et il m’a demandé si je voulais l’euthanasier à cet instant en me disant que si je ne le faisait pas, il n’aurait que deux semaines de plus à vivre. J’étais là à me dire, ‘non’. Les enfants ne pouvaient pas venir avec moi déposer le chien et ne pas passer le récupérer. Je lui ai répondu que je passerai et que je le ramènerai à la maison”, a-t’elle ajouté.

“Je n’aurai pas pu le faire euthanasier, c’est comme un autre enfant pour moi”, a-t’elle souligné, et elle a donc fait plus de 60 kilomètres pour voir un spécialiste, qui lui a fait faire une tomographie digitale, ce qui a permis de découvrir que, par chance, le cancer ne s’était pas encore développé dans les poumons du chien.

Triangle News

Le pronostique était “meilleur” que simplement l’euthanasier, mais ce n’était pas non plus facile, puisqu’il devait être soumis à une coûteuse opération pour amputer sa jambe cancéreuse et six sessions de chimiothérapie, qui coûtait 866 dollars chacune.

Même comme ça, il était possible que Buddy ne vive qu’à peine 18 mois de plus, mais c’était suffisant pour Eaton, qui était heureuse de l’avoir un peu plus longtemps près d’elle. “Je viens de leur dire qu’ils le fassent, je m’en fous. Tant qu’il est avec nous, je m’en fous”, a-t’elle manifesté.

Triangle News

Tout ça fera des dépenses supplémentaires importantes, mais la jeune femme n’a pas hésité à sacrifier le Noël de sa famille pour l’animal.

“Je viens de dire aux enfants que ce Noël ne sera pas aussi bien que tous les deux ans. Nous avons à Buddy et c’est tout ce qui compte”, a conclu Joely, quia assuré que ses enfants étaient heureux d’aider à leur manière que le chien puisse aller mieux.

VOUS AIMEREZ AUSSI